Dans l’exposition que le Grand Palais de Paris a consacrée à Hergé de septembre 2016 à janvier 2017, rien ne mentionne son compagnonnage idéologique avec l’extrême droite ni ses dérapages antisémites. Tout en reconnaissant le génie du dessinateur belge, l’historien Joël Kotek et le documentariste Henri Roanne-Rosenblatt reviennent sur l’antisémitisme d’Hergé, toujours occulté.