La promesse de l’Arménienne (Éditions Academia) n’est pas un roman historique, mais un roman mémoriel.
Il aborde le thème de la pédagogie de la mémoire, avec une mise en perspective des génocides des Arméniens, des Juifs et des Tutsi et d’une actualité que je ne mentionnerai pas ici pour ne pas dévoiler l’intrigue.
Il y est en effet question de la mémoire du génocide des Arméniens, mais aussi des liens entre les transmissions mémorielles des génocides du passé et les enjeux de notre présent.
C’est un roman qui rend hommage à la fraternité des mémoires.
La promesse de l’Arménienne est un roman se déroulant de nos jours en Turquie. Des historiens en quête de sources exceptionnelles sur le génocide des Arméniens de 1915 sont confrontés à une histoire officielle érigée en raison d’État. Traqués, ils devront faire preuve de courage et d’esprit critique.
Une soirée en partenariat avec le Comité des Arméniens de Belgique et le Collectif belge pour la prévention des crimes de génocide et contre les négationnismes
Philippe Raxhon est professeur de critique historique et d’histoire contemporaine à l’Université de Liège. Ses recherches scientifiques portent sur la mémoire, c’est-à-dire la présence du passé et son influence sur nos représentations de la réalité.
La promesse de l’Arménienne est son quatrième roman à suspense.