Dans le monde ashkénaze, en Russie ou en Pologne, le hareng était « le » poisson de la table juive par excellence, une source précieuse de protéines lorsque la viande se faisait rare et trop chère. Seuls les plus nantis pouvaient remplacer ce poisson de pauvres, par de la carpe, pour Shabbat et les grandes fêtes.