L’exposition Mouvements, montrée en septembre dernier à Paris, explorait l’œuvre pluridisciplinaire d’Anna Waisman (1928-1995), une artiste juive oubliée. Danse, musique, arts visuels, littérature... cette plasticienne autodidacte ne cesse de se réinventer et d’explorer les rapports entre l’art et le sacré.