Le 27 janvier 2026, jour anniversaire de la libération du camp d’Auschwitz-Birkenau, nous commémorerons la Journée internationale dédiée à la mémoire des victimes de la Shoah.
Alors que disparaissent les derniers témoins directs de l’extermination, cette soirée portera sur une question centrale : comment transmettre cette mémoire aux générations qui ne croiseront plus de survivants ? Comment en préserver la portée humaine et universelle, au-delà du simple devoir de souvenir ?
Nous avons choisi cette année d’interroger le rôle des objets dans cette transmission. Archives de survivants, médailles de Justes, pavés de mémoire, objets personnels ou encore caricatures antisémites : ces témoins matériels parfois modestes en apparence prolongent les voix qui s’éteignent. Ils rendent tangible ce qui pourrait devenir abstrait. En les confrontant à la rigueur de l’analyse historique, ils permettent d’enraciner la mémoire dans le réel, de toucher, d’interroger et de transmettre l’histoire collective de la catastrophe.
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